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et le vent soufflerait sur les braises ☾ solveig

Solveig Olofsson
Solveig Olofsson

Messages : 323
RPs : 1
Faceclaim : alicia vikander
Crédits : fassylover
Multicomptes : layla, dolores, solveig, archie, sybil, guadalupe, harriett
MC à contacter : layla youens
Pseudo & Pronoms : zugzwang (she/her)
et le vent soufflerait sur les braises ☾ solveig  7b3e5edf9a53e08b03e81ad6a786c9b9
Age : {trente-cinq ans} le chiffre gonfle mais ne te fait pas peur, le temps qui défile et la certitude d'être toujours vivante te suffit.
Occupation : {journaliste d'investigation} au repose forcé depuis plusieurs mois, les traumatismes qui persistent et la page blanche qui t'angoisse.
Statut civil : {célibataire} dans un coin de ta tête il est toujours là, MILES, alors que t'es pourtant partie
Quartier : #38 tremé

— solveig olofsson
ft. alicia vikander
tw : tw: guerre ptsd, abandon, violence  
Identité — Sol veille sur toi, soeur jumelle de Mani, cette course infinie, celle où jamais ils ne se réunissent. Solveig, bercée par les rayons du soleil, la force du feu, les querelles, la rage qui gronde dans tes entrailles. Olofsson patronyme du père, celui qui se transmet, les sonorités à la fois d'ici et d'ailleurs, toujours un petit goût de froid sur le bout des lèvres..

Âge & naissance — Le chiffre ne t'a jamais effrayé, tu le prends pas ces trente quatre années comme un décompte, tu les prends comme une chance, une opportunité d'un jour de plus à vivre, à explorer, à être, à laisser quelque chose dans ton dos, là derrière toi, pour montrer au monde que t'as existé.
14 janvier 1989, Suède
Origines & nationalité — C'est la Suède qui crie dans tous les ports de ta peau, de ton nom à ton prénom, de cette langue commune à ton père, tu y es née mais n'es pas restée très longtemps. T'as la bougeotte comme tes parents et s'il faut tracer ta généalogie, qu'on remonte celle de ton père on trouvera du sang Finlandais et quitte à traquer on lui attribuera aussi des origines du côté Balte

Statut civil & orientation sexuelle — Pas facile de se caser quand on a la bougeotte et si pendant près de sept ans tu t'es rangée, ta carrière mise de côté et tous les rêves que tu pouvais avoir. T'as fini par renoncer à cette vie de couple, à cette relation dans laquelle tu t'es tant donnée, jusqu'à ne plus pouvoir. T'as compris Solveig, que tu ne pouvais pas avoir les deux et en même temps... tu ne pouvais pas être la priorité non plus. T'as pris ton courage et t'es partie, tu ne pourras pas dire que le choix a été facile, pas certaine non plus de ne pas le regretter par moment mais voilà... les joies du célibat qui t'accompagne depuis quatre année maintenant..
Des expériences avec des femmes dans ton adolescence, des baisers claqués sur les lèvres pour voir quel goût ça pouvait bien avoir, pour rire ou faire fuir certains garçons trop insistants. En réalité, tu n'as toujours aimé que les hommes, jamais trop de doute à ce sujet.

Occupation — Les mots comme arme de destruction massive, l'amour des lettres, des belles tournures et le goût du risque. Journaliste d'investigation envoyée en plein cœur des conflits au Moyen-Orient. T'es revenue fracassée de la dernière fois, la tête complètement fracassée, le cœur amoché. Le retour à la vie civile difficile. On t'avait prévenu mais t'écoute jamais, trop têtue, le besoin de voir par toi-même et vivre tes expériences. T'en payes maintenant les conséquences.

Situation financière — t'es pas à plaindre à ce niveau là mais t'as toujours préféré vivre de manière humblement. On t'as appris le respect et la valeur de l'argent. Jamais rien de trop extravagant.

Arrivée en ville — de retour depuis quelques mois seulement

Groupe — Hume.

Crédits —fille de voyou

Traits de caractère —
douce - autoritaire- stricte- bienveillante - l'encre sur le bout des doigts  - exigeante- la bougeote - grynffindor - introvert- altruiste - the reader- the sound of rain - the smell of old books & coffee - les larmes ravalée - hard working - trouble sleeping - devoted - "the perfect daughter"


Signe astro — bête à corne, capricorne

Son rapport à l'ésotérisme — pas croyante pour un sou, plutôt du genre à rationnaliser, elle a vu toutes les horreurs de ce monde pour cesser de vouloir croire en quelque chose de grand. Pas même surpersticieuse.
— irl, tu peux m'appeler zugzwang (she/her) !
Âge & ville— vingt-huit dans un mois, région parisienne Type de personnage — inventé Fréquence de connexion — 24/7 Comment as-tu connu le forum — tout droit sortie de ma tête  Autres —  sip
Solveig Olofsson
Solveig Olofsson

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et le vent soufflerait sur les braises ☾ solveig  7b3e5edf9a53e08b03e81ad6a786c9b9
Age : {trente-cinq ans} le chiffre gonfle mais ne te fait pas peur, le temps qui défile et la certitude d'être toujours vivante te suffit.
Occupation : {journaliste d'investigation} au repose forcé depuis plusieurs mois, les traumatismes qui persistent et la page blanche qui t'angoisse.
Statut civil : {célibataire} dans un coin de ta tête il est toujours là, MILES, alors que t'es pourtant partie
Quartier : #38 tremé

— we all got a story to tell.
tw: guerre ptsd, abandon, violence
11 mai 2019
Miles,
Je pars,

Je suis désolée, je n’ai pas le courage de te le dire en face, peut-être parce que je sais que tu aurais su me faire changer d’avis, peut-être parce que si je ne pars pas maintenant, je ne pourrais plus jamais partir.
Je pourrais t’énoncer toutes les raisons, celles que tu connais déjà. Cette loyauté aveugle que tu as pour les ghost, celle qui causera ta perte j’en suis sûre. Je peux plus, j’ai essayé mais j’ai compris que je passais toujours après. Que si un des gars t’appelle en pleine nuit, c’est lui que tu iras chercher en dépit de tout ce que je peux bien penser. Je veux plus me coucher en sachant si tu vas rentrer, si un jour on m’appellera pour me dire que c’est ton corps à toi qu’on a retrouvé.

Je suis désolée Miles, j’en peux plus de ces disputes incessantes qui ne mènent à rien, des dialogues de sourds, des nuits sans sommeil, des journées à t’attendre. Je veux plus devoir laver les tâches de sang, me demander si c’est le tien ou celui d’un autre. Si c’est un blessure plus large qu’un jour je ne pourrais pas soigner.

Je pars pour moi aussi, pour le travail, pour cette mission dont je n’ai même pas osé te parler encore. L’Iran, on m’appelle pour couvrir le terrain, là au cœur des populations et ça me ronge de refuser, de ne pas y aller, de ne pas aider. Je sais que, du moins je crois, que tu ne m’aurais pas laissé partir comme ça, le refus de me voir dans une zone à risque. Je préfère partir, libérer ton cœur et ta conscience parce que Détroit me pourrit de l’intérieur, Détroit me ronge, ce que tu deviens me bousille et je refuse Miles, de nous voir sombrer, de ne plus se comprendre jusqu’à s’en déchirer.

J’ai essayé d’être là pour toi, de te porter à bout de bras, j’ai essayé de tenir bon pour toi plus que pour moi, à redouter la décision que je prends en écrivant ses mots. Tu peux douter autant que tu veux, mais je t’aime. Tellement. Tu sais, c’est ce genre d’amour qui te consume, qui te flingue, des amours qu’on n’oublie pas, qui restent là solidement marqué au fer rouge sur mon derme.

Je pars,
Je suis désolée.
Sol.





juin 2023, non envoyée
Miles,
Ils disent qu’il faut écrire une lettre à quelqu’un qui nous est cher.
Ils disent que ça fait partie du jeu, de la thérapie.
Ils disent que ça va me faire du bien, que ça devrait m’aider et pour être totalement honnête, je n’en sais rien.

Est-ce que t’as aussi dû écrire une lettre à ton retour ? As-tu réussi à coucher sur écrit toutes les atrocités dont tu avais été témoin et si oui est-ce que ça t’avait aidé ? Je veux dire vraiment aider.

J’ai vu des choses Miles au cours de ces derniers mois, la Syrie, l’Iran ce n’était pas la première fois que j’y allais pourtant… J’ai pas les mots pour dire toutes les horreurs dont j’ai pu être témoin. J’ai pas fait ce travail pour ça dans un premier temps et ce n’était pas non plus de la curiosité morbide. Tu le sais, toi, que j’ai toujours pensé à faire le bien, à raconter le plus justement le quotidien de ces familles totalement chamboulées par la guerre.
J’ai fini dans un hôpital aux allures d’orphelinat, j’ai fini entourer d’enfants et c’est toujours plus dur quand il y a des enfants dans l’équation. On a cet ordre de ne s’attacher à aucune des personnes qu’on rencontre, on sait ce qu’on risque, on sait aussi ce que eux risquent aussi. Mais cette fois, j’ai pas réussi à me détacher complètement, j’ai pas pu oublier ce gosse. Farouk. J’ai pas su tenir mes distances et j’ai commencé à envisager de le ramener ici avec moi. J’ai commencé à réfléchir à ce truc un peu malsain, à cette chose que je dénonce si souvent dans mes écrits, presque à me moquer de ceux qui se prennent pour des sauveurs. J’ai eu envie d’être une sauveuse. J’avais rien à lui apporter à Farouk, ma vie n’a jamais été aussi instable depuis que je suis partie et je savais à ce moment-là que je repartirai. Qu’est-ce que j’aurais pu bien faire de ce gamin quand je pars parfois plus de six mois ? Mais voilà, je me suis faite avoir par ses grands yeux marrons, le poids de la misère qui pesait sur ses épaules, le noir de ses cheveux et j’ai eu envie de sauver ce gosse plus que tous les autres. Comme une bonne américaine, j’ai cru que je pouvais. C’était bête mais j’ai cru que j’aurais pu donner un truc chouette à ce gamin.

Farouk… je l’ai vu se faire sauter à une dizaine de mètres de moi. Je l’ai vu presser son doigt sur le bouton, j’ai deviné la terreur dans ses yeux avant de le faire parce qu’à 8 ans on ne peut pas décemment se faire exploser comme ça. Farouk… il avait été récupéré par un oncle, un cousin, un homme de la famille ou ne sait trop quoi, quelqu’un d’assez malade pour lui dire qu’il pouvait tous les sauver… lui et les personnes de l’hôpital.

Je l’ai perdu Farouk, lui et d’autres enfants, des adultes, des collègues et si je suis rentrée de Tadmur, je crois que je me suis un peu perdue en route aussi. Je ne te parle pas des blessures, des éclats qu’à causer l’explosion, je te parle pas des décombres dans lesquels ont a été retrouvé, ni même les cris, les absences, les pertes de connaissance. Je te parle de moi. Je crois que… je crois que moi, je suis encore là-bas.

Sol.
Miles Hopkins
Miles Hopkins

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MC à contacter : celui-ci
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et le vent soufflerait sur les braises ☾ solveig  WSS3OqQf_o
Age : (( trente sept ans )) et déjà bien des histoires de vécues qu'il tente de remplacer par de nouvelles images plus fortes, plus positives, plus prenantes, meilleures.

Occupation : (( président des ghostriders mc )), le chef de troupe qui n'hésitera pas à taper du poing si l'on prend aux siens ou si l'on s'approche de trop près de ce quartier qui leur est cher.

Statut civil : il a été ce loup endeuillé, ayant connu l'amour, celui qui lui a été injustement arraché et qui n'a jamais été expliqué. aujourd'hui un peu(( perdu )), incapable d'oublier ce qu'il a vécu autrefois. lassé d'avoir trop donné pour au final finir abandonné, quelque part apeuré de s'ouvrir et se livrer ; se raccrochant surtout à ce petit être qui fait de lui un (( père comblé. ))

Quartier : appartement à lakeview.
Longueur RP : je m'adapte.

cryyy cryyy cryyy
Ares Kaiser
Ares Kaiser

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et le vent soufflerait sur les braises ☾ solveig  38LcNwk
Age : vingt-sept tours de la terre au cul, et pourtant toujours pas de date pour marquer l'histoire.

Occupation : ass-kicker chez les ghostriders - son sérieux, sa dévotion et son ambition lui ont permis de gravir les échelons. premier à débarquer quand on l'appelle, loyauté au m.c. à la vie, à la mort.

Statut civil : tu te perds entre les cuisses des autres sans grande conviction. jamais là pour rester, jamais attaché. un seul nom qui reste, même quand t'aimerais bien l'oublier. damian.

Quartier : lakeview. voisin de ta soeur, après avoir partagé un appart pendant des années. en coloc avec damian.
Zone libre :
rps en cours : 4/5. (dispo)
milesit's time.
alexieentrainement.
damianjoyride.
jaxà venir.
› dispo.

Longueur RP : entre 300 et 600 mots environ, ça dépend.
Trigger warnings : cruauté animale, sinon c'est good.

solveig olofsson a écrit: j’ai essayé mais j’ai compris que je passais toujours après. Que si un des gars t’appelle en pleine nuit, c’est lui que tu iras chercher en dépit de tout ce que je peux bien penser.

roll roll roll
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