death angel - azraël

(Chapitre I) Celui de l'innocence et de l'enfance. Une innocence trop vite disparue. Disparue à l'instant où l'enfant s'était rendu compte que la mort gouvernait ce monde. Innocence disparue sans un bruit. Dans l'effroi. A l'instant où la fillette aux cheveux bruns s'était approchée de la fenêtre. A l'instant où elle avait compris que les silhouettes qui traversaient la pelouse verdoyante ne ressortiraient pas vivantes. Des réunions qui paraissaient anodines. Sous le couvert des ombres. Eclairées par la lune. Des poignées de main échangées. Des malettes remplies de billets déposées. Mais là où certaines silhouettes repartaient, d'autres restaient prisonnières de la nuit. Innocence disparue au moment où les premiers tirs avaient retenti. Echos des coups de feu. Echo de la mort.

Fillette qui n'avait alors compris qu'à naître princesse, avec une cuillère dorée dans la bouche. A ne savoir qu'empire bâti sur le sang, la mort et les billets sales. A ne savoir qu'à se trouver au coeur du triangle des bermudes. De la mafia turque. Et dont le royaume n'avait qu'un roi. Lucifer. Ou plus connu officiellement sous le nom de Cihanjir Yildiz.

(Chapitre II) Celui de la loi du silence. La seule à laquelle il était nécessaire d'obéir. Celle qu'il fallait respecter. Des paupières closes. Des histoires dignes d'un film d'horreur qui était tues. Aucun secret qui ne serait jamais dévoilé. Le poids de la trahison étant celui de la mort. Une alternative que certains préférés encore choisir plutôt que de se retrouver face à Lucifer en personne. L'incarnation du diable. L'étoile du matin. Celui qui dirigeait d'une poigne de fer la mafia turque. Celui dont le trône n'avait jamais été dérobé. Celui qui restait. Faisant la pluie et le beau temps. Celui qui gardait l'équilibre entre les gangs. Parfait businessman. Celui qui dirigeait cet empire et qui comptait bien faire respecter ses règles jusqu'à la fin de son règne.

Règles à respecter à l'extérieur et l'intérieur de la demeure. Où sa parole était loi. Tandis que dans l'ombre, devenir mirage, silhouette maternelle. Tandis qu'en parallèle, à grand coup de festivité et de sourire, le roi se complaisait. Et derrière première touche de fond de teint, premières marques de la couleur du ciel cachés avec soin. Ou larmes maudites. Princesse qui ne pouvait pleurer. Ou d'autre choix que de relever la tête et sourire. Monde d'illusion. Et jeu de dupes.

(Chapitre III) Celui de l'insolence. Vivre plutôt que servir. Suivre la lumière plutôt que les ombres. Restait loin de la mafia. Le temps de l'insouciance. Heures de fêtes et danses endiablées. La vie croquée à pleine dent. Celui il était encore possible de croire que les contes de fée existait. Mais les contes de fée qui restaient une illusion. Une illusion à détruire. Une profession qu'il ne pouvait accepter. Un futur qu'il ne pouvait accepter. Ne pouvant envisager qu'un autre puisse briller de milles feux sous les projecteurs. Ne pouvant imaginer un autre futur que celui décidé par l'étoile du matin. Alors cette poupée de porcelaine qu'il chérissait, il décida de la briser. Physiquement. Mentalement. Un corps qui ne serait jamais le même. Des cicatrices qui resteraient. Visibles à l'oeil nu et invisibles. La briser pour la mieux reconstruire. Lui faire comprendre qu'il ne servait à rien de fuir son destin. Ou ailes arrachés. Cicatrice en forme de v, venant se dessiner sur le dos. Briser les ailes de la colombe avant qu'elle n'en vienne à prendre son envol. Rappeler que seul déchéance attendait seul qui osait trop près s'aventurer du soleil. Au risque de se brûler. Ou sous les flammes, mental qui resistait. Comme de l'acier.

(Chapitre IV) Celui du premier amour. Et sans doute l'homme avait-il raison. Fuir ne servait rien. Une destinée à embrasser. A bousculer. Changer les règles. Devenir reine parmi des hommes. Devenir meilleure. Alors apprenant. Apprenant les codes. Apprenant auprès du meilleur. Celui assigné pour la surveiller. Celui trop silencieux à première vue. Celui trop obéissant à première vue. Celui trop parfait. Cherchant la faille dans la cuirasse. Et doucement tombant amoureuse de ce sourire, de ce rire et de ces costumes toujours assortis. L'amour. Celui qui semblait indestructible. Se sentant en sécurité. Et parfois cette pensée qui l'a traversé, celle de savoir que lorsqu'il l'a protégé, lui risquait la mort. Là à la protéger des balles pleuvant du ciel. Alors apprenant. Apprenant pour que cette dynastie ne puisse jamais être brisée. Devenant une famille. Et ce fil de coton enroulé délicatement autour d'un doigt qui sonnait comme une promesse. Celle de voeux sacrés. D'un mariage. D'un rêve de se retirer. D'enfants courant dans les rues. D'une fillette aux cheveux bruns riant aux éclats. Des sourires et du bonheur. Celui à portée de main.

(Chapitre V) Celui de la fin du règne. Dans un monde rempli de mensonges, il avait été un magnifique rêve. Eux qui auraient pu être une dynastie inébranlable, que personne n'aurait jamais pu briser. Mais tout s'était écroulé. Oublié les baisers. Empire qui était tombé en ruines. Tombant en ruines le moment où elle avait découvert que tout n'était qu'une illusion. Dynastie tombée en ruines le moment où il avait appuyé sur la détente. Tuant son père. Réalité brutale qui venait lui rappeler qu'aucune histoire n'avait de fin heureuse. Lui rappeler que les mots sont éphémères, capables de s'envoler au vent et qu'à la fin il n'en vient qu'à rester des cendres. Une histoire d'amour partie en fumée. Des pages brûlées. Ne restant qu’un cœur brisé et piétiné.

(Chapitre VI) Celui de l'exil. N'ayant rien à dire à celui qui avait tué son père. Rien. Voulant qu'elle parle mais il n'y avait rien à dire. Il n'y avait que le silence et dans le lointain, les flammes qui continuaient de brûler. La nuit où tout avait changé. La nuit de son exil. Démons qu'elle pensait fuir mais ténèbres qu'elle n'avait fait qu'embrasser un peu plus en arrivant à La Nouvelle Orléans. Fuyant loin de l'homme qui avait été cru être celui d'une vie.

(Chapitre VII) Celui de la renaissance. Un nouveau départ. Une nouvelle ville. Un endroit où on ne la connaissait pas si ce n'est de nom ou sur la toile. Libre d'être qui elle voulait. Libre de sombrer si le désir s'emparait d'elle. Ce qu'elle avait fait. Sombrant. Ayant signé un pacte avec le diable. Sombrant dans les combats. Echapper à la solitude des nuits désertes dans les bras de Franco Luciano. Artiste torturé le jour, ou âme de poète la nuit. Et pendant que le coeur de l'homme battait un peu plus fort, à se dérober de nouveau.

(Chapite VIII) Celui des retrouvailles. Et des silhouettes d'autant familières du passé retrouvées. Aleks qu'elle n'aurait pensé revoir. Ayant cru qu'il n'était possible de croiser les ours polaires que dans la russie profonde mais s'étant visiblement trompé. Enfant devenu grand. Enfant qui avait aussi franchi la barrière. Mais à la différence, pour lui, l'amour avait été plus fort que la haine. Et retrouver ainsi meilleur ami d'enfance en la personne d'Aleks Prestwich. Retrouver frère de coeur, quand les liens du sang n'étaient là. Mais liens que plus forts entremêlés. Conjurant mauvais sort ou désir qu'un peu fou de ces paternels qui se considéraient comme des meilleurs ennemis que nouer les liens du mariage entre leurs mains. Au lieu de cela, défier les règles et leur faire un signe de la main en les regardant disparaitre. Ou dans le chaos, retrouver familiarité.

(Chapitre IX) Celui des combats. Les combats. Se jeter dedans. Laisser la rage prendre le dessus. Danser avec la mort qui devenait une option attrayante pour celle qui avant en avait peur. Un style différent. Un style de combat propre à la mafia. Avec cette touche en plus. Celle du danseur. Ayant appris à recevoir des coups. Se retrouvant celle à en donner. Passant de la survie à autre chose. Quelque chose de pire. Se perdant.

(Chapitre X) Celui du changement. Un combat. Cette rage si familière. Cette danse avec les ombres. Ces lames qui avaient percutées la chair. Car dans la rue, il n'y avait de règles. Simplement le désir plus gand de survivre ou d'en finir. Combattants qui n'étaient pas effrayés de mourir. La mort qui n'était rien. Vivre qui leur faisait plus peur. Si différents. Et pourtant attirés comme des aimants. Gravitant l'un vers l'autre. Ou regard pour le combattant écossais, pour Brice Standford. Et électrochoc.

(Chapitre XI) Celui de la vie. Réapprenant à vivre. Réapprenant à fonctionner. Coeur qui s'était remis à battre. Reprenant le goût des défilés. Redécouvrant des personnes mal aimées. Apprenant à surpasser les préjugés. Apprenant à découvrir de nouvelles amies. Peut être pas les meilleures amies mais suffissantes pour s'épauler et être là. Et n'avoir alors idée que dans la personne d'Arizona Hayes trouver confidente des années après.

(Chapitre XII) Celui de l'apaisement. Et ce soir où les rôles s'étaient inversés. Où doucement, à tour de rôle ils avaient ouvert leurs coeurs. Combattant écossais sauvant la vie de la jolie brune. Et dans l'obscurité, confessions nocturnes. Et dans l'obscurité, se retrouver sans crainte, sous les rayons de la lune. Auprès de lui, à trouver sécurité et familiarité sur cette couche de canapé. Homme qui n'avait alors idée qu'il venait de dérober son coeur. Pour avoir été simplement là. Plus humain que personne ne l'avait été depuis longtemps. Ou dans l'écho de la nuit, ours qui avait apprivoisé panthère noire.

(Chapitre XIII) Celui de la vérité. S'envoler. Fuir. Etre insaississable qui faisait partie de ses gènes. Des secrets qui existaient. Des non-dits qui existaient. Ne pouvant être contrôlée. Ou à ne pouvoir cesser de se mettre en danger, puisque chaos celui suivi et connu. Passé auquel il n'était possible de renoncer, comme il n'était possible de renoncer à la mafia. A faire partir de ses gènes qui s'écoulaient. Attachée au danger. Attachée à la colère. Attachée à la douleur. Et des cris. Ouragan. Vagues qui venaient et s'éloignaient. Partant et repartant.

(Chapitre XIV) Celui de la séparation. N'y ayant cru. N'ayant pas cru en ses mots. N'ayant pas cru que tout se terminerait. Ne l'ayant cru non plus. Mais de cette histoire d'amour, il n'était paru resté que des cendres. Cette page signée qui annonçait la fin. Ayant cru que l'amour aurait été plus fort que la vengeance. Une erreur. Un mensonge. La vengeance plus fort que l'amour. Ce qu'ils avaient faits. Détruisant leur amour. Peut être la chose la plus dure qu'elle n'ait jamais faite jusqu'alors. Et pourtant préférant chacun avoir l'autre dans sa vie que pas du tout. Alors concluant un pacte. Recommençant.

(Chapitre XV) Celui de l'abandon. L'aimant peut être mais restant silencieuse. Ne disant un mot. Ne retenant celui qui s'était échappé. Ne retenant le combattant, lui qui avait besoin de soigner ses plaies. Son coeur se brisant de nouveau. Ce qu'il avait fait. Coeur qu'elle s'était promis de protéger. Coeur qu'elle s'était jurée de ne plus voir brisé. Mais coeur brisé et combattant écossais qui se dérobait, sous le regard défait de la jolie brune.

(Chapitre XVI) Celui des ombres. La vie qui sonnait comme un désastre. Tombant et se relevant. Alors lâchant prise. Abandonnant tout contrôle. Vrillant. Vrillant comme jamais. Chutant de nouveau. Chutant dans ce gouffre. Sans corde de rappel. Ange de l'appocalypse désireux de causer la destruction. Le ring qui restait une opportunité. Le moyen de faire taire un semblant la bête. Mais restant insuffisant. Ayant besoin de plus. Ayant besoin d'extérioriser la douleur. Passé la rattrapant.

(Chapitre XVII) Celui de la reconquête. Addict. Elle le savait. Des mots gravés à l'encre invisible. Pouvant prétendre mais ne pouvant se mentir à elle-même. Alors elle avait fait le premier pas. Un premier pas timide quand elle n'avait idée de comment il la recevrait. N'étant pas parfaite. Faisant des erreurs et essayant. Des pas timides mais un début peut être.

(Chapitre XVIII) Celui du goût du risque. Celui de la pervesion. L'attrait des ténèbres bien plus intéressant que l'attrait de la lumière. N'existant pas de fin heureuse. Ange de l'appocalypse qui reprenait du service. Un nouveau départ. Une nouvelle colocation. Un nouvel business. Officiellement, une boite de nuit qui devenait un investissement. Un ticket simple en direction des limbes. 2021. Officieusement, l'ouverture d'un business bien moins légal. Mais un avec le meilleur associé qu'il soit, pardon, le meilleur chef qu'il soit. Un monde à redessiner. Une famille à reconstruire. Et le business qui restait le business. Un goût du danger prononcé. Mais une boite de nuit restant bien plus discret qu'un casino. Les flics partout. Perquisionnant. Mais qui oserait perquisitionner une boite de nuit avec des propriétaires au visage si angélique ? Cherchant dans les lieux connus. Cherchant des visages connus. Mais oubliant les anonymes. Oubliant ceux aimant tirer les ficelles parmi les ombres. Un roi tombant et un nouveau prenant sa place. Le jeu des gangs. La recherche de ce subtil équilibre dans le chaos. Et un chaos que des plus attrayant pour faire affaires.

(Chapitre XIX) Celui des coeurs brisés. Ou équilibre du monde perturbait. Un prenant et ne rendant pas. Horloge du temps qui avait sonné son heure. Fil de la vie coupé soudainement. Ou mots du russe qui ne parvenaient à faire sens. Que Brice soit mort. Que le combattant écossais soit tombé sur le ring. Colosse au pied d'argile. Ou coup donné en traitre. Lame de son flanc. Confession d'amour jamais avouée. Et coeur qui se brisait en morceaux. Avec celui d'Aleks et d'Arizona. Quatuor perdant l'un des leurs. Famille perdant l'un des leurs.

Chapitre XX) Celui de la vengeance. Spirale. Gouffre dans lequel il était si facile de tomber. Et jolie brune sautant dedans à pied joint. Ange de l'appocalypse renaissant. Ange de la destruction s'apprêtant à silloner de nouveau chemins pavés de l'enfer. Retrouvant chaos familier. Ce feu ardent brûlant dans les veines. Mais cette fois, chemin de la destruction qui n'était pas emprunté seul. Ou suivi par compatriote. Pour satisfaire ce désir de vengeance à fleur de peau. Faire payer ceux qui avait ôté la vie au combattant écossais.

(Chapitre XXI) Celui de la destruction. Ou frappant. Succombant à la violence. Partenaires dansant avec les ombres et le feu. Laissant dans le sillage corps qui ne se releveraient pas. Apposant sur chacun d'eux, symbole gravé sur la chevalière. Cercle s'entrecroisant. Ou si un tombant pour le cercle, le cercle venant pour eux. Et venant. Brûlant tout sur ce passage. Laissant symbole enflammé. Brûlant et détruisant cette organisation vouée dans les combats clandestins jusqu'à la dernière brique. Pour que vengeance soit satisfaite. Pour que chacun sache ce qu'il en coûtait de toucher leur famille.

(Chapitre XXII) Celui du néant. Puisque vengeance qui n'avait de satisfaction. Mort qui n'apportait nulle satisfaction. N'emportant que le néant. Ou sombrant un peu plus tandis que le désespoir germait comme une fleur. Ou si fleu, champ de fleur sombre se dessinant. Présage de destruction. Ou coeur qui ne pouvait battre sans raison. Alors jolie brune qui sombrait tandis que les nuits devenaient vaines, et que sur ses yeux, s'écoulaient des larmes jusqu'à que l'océan soit comblé et qu'elle n'en n'ait plus.

(Chapitre XXIII) Celui du dernier combat. Ou dans la violence, jeune femme qui se retrouvait. Plongeant dans les combats illégaux. Où dans la rue, nulle règle n'existant. Cherchant à flirter avec la mort. Chercher à entendre le son de sa voix. A entrevoir sa silhouette parmi les badauds. Sans jamais s'avouer qu'à chercher la mort elle-même. Ou dans combat contre leader des ghostriders, chacun à céder la violence. Reflet dans le miroir. Poids de la culpabilité sur les épaules. Celle qui rongeait tout. Et quand chercher la mort, lui qui rappeler la vie. Rappelant que si à partir, souvenirs qui disparaitraient avec. Ou quand lui en venait à sombrer, le relever. Ou pendant l'ombre d'un instant, dans chaos, à ne plus être seule.

(Chapitre XXIV) Celui des soupçons. Ceux des membres des forces de l'ordre. Descente aux limbes ordonnées. Pour découvrir si la boite de nuit était le lieu de tous les trafics et celui des stupéfiants. Mais lieu clean. Préservé. Eclat d'arrogance ou russe à chercher les problèmes. Et se trouvant en garde à vue. Interrogatoire se poursuivant jusqu'au coeur de la nuit et soupçons se révélant qu'un peu plus sur les cadavres laissés dans la nouvelle orléans, sur ce symbole gravé réapparaissant. Illusion. Ou d'un revers de main, éloigner soupçons. Profitant de ce surplus de confidence pour paraitre citoyens des plus normaux. Illusion.

(Chapite XXV) Celui de la folie. Médaillon de Brice manquant. Et tourbillon de folie. Tempête. Ou villa dévastée pour retrouver le médaillon perdu. Eclat de verre. Eclat de verre parsemés dans la pièce. Hallucinations. De celle de Lucifer. Goutte de sang tombés sur le sol. Et monde qui n'avait de sens. Recherche de la mort inavouée et presque trouvée. Sauvé à temps par Aleks et Arizona.

(Chapitre XXVI) Celui de la reconstruction. Ou thérapie forcée. Fissure qui se dessinait entre meilleurs amis. Colère et distance qui s'installait. Peur qu'un soit remplacé. Peur de ne pas revivre. Ou distance qui mettrait du temps à être effacé. Croisée des chemins ou amitié presque perdue.

(Chapitre XXV) Celui des illusions et de la prospérité. Trafic d'armes battant son plein. Jeune femme étendant le trafic d'armes. Complicité ou partenaire de crime tout trouvé en la belle australienne. Ou cabinet d'avocat devenant par extension siège du blanchiment d'argent d'halka.

(Chapitre XXVI) Celui de la tentation. Ou crush pour le leader des ghostriders. Non dit. Eclat de colère. Porte trouvée. Regard croisés. Lèvres rencontrées. Dans la nuit, amants se trouvant. Nuit éphémère. Ou chemins se séparant de nouveau. Mais non dits restant suspendus dans la nuit.

(Chapitre XXVII) Celui de la renaissance. Où réalité illusion. Combattant écossais tombé qui ne l'avait été. Ressurgissant. Différent. Ame torturée. Ou pendant un an, aux mains de la mafia écossaisse. Et l'équilibre du monde perturbé de nouveau, alors que la mort était défiée et trompée.

(Chapitre XXVIII) Celui des révélations et du renouveau. Des confessions. A avouer ce qui s'est passé. Aveux fatals mais certainement pas mortels. Nouveau départ où villa conservée mais laissée de côté, tandis que les quatre amis prenaient leur envol et que leurs chemins se séparaient doucement.

Personnage que je connaissais mal mais que j'ai adore (re)découvrir plus en détail, je STAN le duo qu'elle forme avec Aleks. Trop trop hâte de vous vois vous épanouir ici
J'ai dévoré ta fiche

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