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the lost art of death ; bowie

Bowie Osborne
Bowie Osborne

Messages : 492
RPs : 2
Faceclaim : d.rieder.
Crédits : vocivus (av.) ; awona (code signa) ; unsteady. (bann.)
Multicomptes : miles ; jethro.
MC à contacter : miles hopkins.
Pseudo & Pronoms : massalia. (she/her)
the lost art of death ; bowie DfIBGVxn_o
Age : moitié de vie à espérer mieux que cette pauvreté, qu'un père absent, qu'une santé fébrile, (( trente années )) et plus qu'un seul objectif avant que la mort ne le prenne : leur offrir mieux.

Occupation : apporte satisfaction, sourire, vient en aide, se rend utile (( artisan multiservices )); apporte poison, écoulement de sang, libère du dernier supplice (( tueur à gages )) qui exécute les missions.

Statut civil : autrefois émerveillé par sa beauté, cette aura, le lendemain repoussé par la noirceur qui le retenait prisonnier. relation malsaine, entre amour et haine, entre passion et poison qui coulait dans ses veines, (( célibataire )) après que séparation ait été annoncée. tout doucement retrouver une complicité, une proximité avec celle qu'il n'aurait soupçonné.

Quartier : #76 au vieux carré, appartement aux airs d'un atelier où il peut stocker tout son attirail entre outils et matériaux multiples ou encore là où il peut camoufler les billets sales récoltés. pas le plus cosy, pas le plus luxueux, mais un petit cocon certain pour celui qui s'y sent bien.
Longueur RP : je m'adapte.

— bowie osborne
ft. dylan rieder
tw : maladie, violence, meurtre, relation malsaine.
Identité — ça empeste la pauvreté à plein nez, fait écho à des marmots à n’en plus compter pour une seule et même mère en commun en plus de ce nom que l’on prononce autant en riant qu’en se méfiant. des gamins gringalets, la peau sur les os, la faim justifiant les moyens, entre montrer les crocs, arracher quelques chevelures ou laisser se faufiler la main dans les sacs pour subtiliser quand d’autres subissent moqueries, insultes, harcèlement. (( osborne )) où le fardeau porté, exhibant la différence, le manque de moyens, une banalité presque priée quand il sait qu’il est trop tard, son destin semble tout tracé. (( bowie )) marqué par les expériences douloureuses, un avenir bancal, esprit torturé, des images qui semblent si loin des frasques et de l’extravagance de celui qui a inspiré sa mère pour lui donner ce prénom. david bowie et ses mélodies rythmées ne sauraient faire écho à cette vie menée

Âge & naissance — plus de vingt ans d’expérience dans ce monde en pagaille, (( trente années )) pour être plus précis. discret, espérant passer inaperçu pour ne plus subir le harcèlement des autres gamins. plus vivant, plus agité en dehors de ces murs pour accaparer son attention, père inexistant, abonné absent, assez d’argent pour les sauver mais pas assez de temps ou d’envie pour les élever. tout autant d’années à voir la santé en pâtir, accumuler les soucis, penser d’abord à gagner sa vie pour se soigner puis finalement ne plus penser qu’à eux. presque autant de temps à se poser des questions sur ce sort qui s’acharne avant de finalement baisser les bras et juste se laisser guider par la vie et ce qu’elle peut encore lui offrir, pour le temps qu’il lui reste.

Origines & nationalité — à retracer le film de sa vie il n’y aurait qu’un décor redondant. (( la nouvelle-orléans )) et sa chute de plus en plus imminente, les dégâts de cette gestion catastrophique qui n’a jamais su la redresser. ces rues qu’il a toujours connu, terrain de jeu dans lequel il a pu s’ouvrir, se libérer, se forger avant que des opportunités ne lui fassent vivre d’autres expériences, le regard s’ouvrant à d’autres destinations quand de toute évidence c’est dans ces ruelles malfamées qu’il restera jusqu’à ce que la mort l’emporte. il aurait pu partir avant, il aurait pu la suivre, sa moitié, voguer sur les traces d’un père méconnu pour espérer savoir quelles origines autres que celles de sa mère coule dans ses veines mais sa vie est ici et sa mort le sera également..

Statut civil & orientation sexuelle — la mort l'attend de pied ferme, pourquoi prendre le risque de laisser derrière lui une autre âme en perte ? le sable coule dans le sablier quand le cœur, lui, semble encore prêt à s’ouvrir, à s’émerveiller mais la tête refuse, l’égoïsme ne peut se révéler. (( célibataire )) autrefois emprisonné, poussé à bout par celle qui refusait de le laisser jusqu'à ce qu'elle se détourne subitement, ne laissant qu'un vide et une nouvelle relation inattendue dans les bras de la drogue pour mieux se sentir comblé et s'évader. sans oublier ce flirt avec la faucheuse pour tenter de lui échapper. finalement, (( c'est compliqué )). il reste néanmoins l’amour qu’il peut encore apporter aux siens sous les traits de billets qu’il garde dans un coin. et un beau jour il s’en ira, seul, comme jamais il ne l’a été.  quant à ce qui le fait chavirer ? il les observe, les devine, leur sourit, appréciées de loin parce qu'autrefois il n'était pas celui que l'on regardait en retour, que l'on approchait alors il les contemplait sans pour autant franchir le pas, pas le genre de gars à approcher une femme parce que sa beauté trouve écho à un élan de courage qui le ferait franchir le pas. (( hétérosexuel )) mais pas de ceux qui vont voir les demoiselles comme simple objet sexuel.

Occupation — tantôt les mains s'armant d'outils qu'il manie à la perfection, pinceau, pinces, cutter, marteau et autres outillages avec lesquels il a apprit à travailler très tôt; créant sa micro-entreprise pour faire ses premiers pas dans la vie active quand les études étaient inenvisageables et les formations trop coûteuses. tantôt les mains s'armant d'outils qu'il manie différemment que ceux qu'il peut avoir dans sa caisse à outils, couteau, flingue, hache, poignard, créant le chaos pour assouvir l'espoir de repartir avec plus de billets dans la poche qu'il n'en aurait jamais eu autrement. (( artisan )) se déplaçant chez les particuliers, dans les entreprises, sourire aux lèvres, politesse, proposant ses services à qui aurait besoin de réparations, d'embellissement; une couverture, gardé comme pour se dire qu'il n'est pas juste devenu celui qui apporte le dernier souffle. (( tueur à gages )), exécute les missions sans trop poser de questions ou broncher, parfait soldat peu fier d'apprécier se venger contre la vie en apportant la mort.

Situation financière — depuis le plus jeune âge, la peau sur les os, le ventre qui hurle de faim, (( la pauvreté )) qui pourrait être remplacée par cet argent qu'il parvient à se faire avec l'aide de sa double-vie, double-activité, (( situation stable )) qu'il préfère pourtant ne pas s'autoriser pour garder les billets verts en lieu sûr afin de leur glisser lorsque la mort l'aura emporté.

Arrivée en ville — depuis qu'il a poussé son premier cri (( natif )) de la nola et les seules fois où il est venu à quitter cet endroit, c'est quand dans l'enveloppe qu'on a pu lui glisser, nom étranger lui avait été confié ainsi que billets. en dehors de l'activité, bowie, il est né, il vit et il restera ici, préférant cette ville à leurs côtés plutôt que vivre dans un paradis sans qu'il ne soit là pour les épauler.

Groupe — ptolémée

Crédits — myself.
Traits de caractère — (( discret )) depuis son plus jeune âge, esquive les moqueries, le harcèlement, se cachant dans un coin jusqu'à ce que l'oublie, habitude ancrée qu'il a gardé couplé à cet air (( réservé )) qu'on lui décrit. (( bienveillant )), puise le positif pour chasser le négatif, attire le bien et chasse le mal, discours, attentions, conseils, toujours dans une tentative de compréhension. de plus en plus (( généreux ))avec le temps, l'égoïsme qui ne peut prendre place quand l'avenir est tout tracé, individualiste que lorsqu'il est question de faire face à ses doutes, son mal-être, fardeau qu'il ne voudrait faire porter à autrui. (( perfectionniste )) qui ne laisserait aucun détail lui échapper quand il laisse ses doigts se glisser sur le cordes d'une guitare, quand sa main danse pour remplir la toile blanche de couleurs multiples, quand il confectionne une nouvelle planche pour son skate, (( polyvalent )) et jamais rassasié. (( créatif )) jusqu'à se retrouver submergé par des idées au beau milieu de la nuit, perdre le sommeil et courir pour laisser libre court à ses envies. (( dynamique )), qui ne peut tenir en place, aime s'occuper pour libérer son esprit épris aux questionnements. écho à l'être (( passionné )) qu'il est, animé par ce besoin de toujours s'investir pleinement dans ce qu'il fait, activités, travail, amour - désillusion. (( possessif )) qui ne voudrait l'être, fait ressortir le pire, (( piquant )) et trop (( franc )) quand il se retrouve touché en plein cœur. (( faux calme )), encaisse, encaisse, encaisse, intériorise jusqu'à ce que la bombe explose.

Signe astro — marqué par l'efficacité dans ce qu'il entreprend , la créativité qu'il retransmet du bout de ses doigts, ce besoin de dynamisme, de vivacité. fait naître la surprise, l'inattendu  quand on se frotte à ce côté aussi mystérieux que piquant quand on le provoque. (( scorpion )), dévoilant peu sauf si c'est nécessaire ou si ça peut lui être utile, méfiant, accordant cette confiance qu'à si peu de personnes sans que ça n'entache sa fidélité

Son rapport à l'ésotérisme —  friand de découverte, s'interroge, se renseigne, se laisse parfois aller à ces nouveautés, sans que ça ne soit quelque chose qu'il maîtrise ou qui lui parle en totalité, finalement. curieux face à cela.
— irl, tu peux m'appeler massalia (she/her) !
Âge & ville— 26/normandie. Type de personnage — inventé. Fréquence de connexion — trop souvent Comment as-tu connu le forum — mon p'tit doigt m'en a parlé ! Autres —  excited
Bowie Osborne
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Pseudo & Pronoms : massalia. (she/her)
the lost art of death ; bowie DfIBGVxn_o
Age : moitié de vie à espérer mieux que cette pauvreté, qu'un père absent, qu'une santé fébrile, (( trente années )) et plus qu'un seul objectif avant que la mort ne le prenne : leur offrir mieux.

Occupation : apporte satisfaction, sourire, vient en aide, se rend utile (( artisan multiservices )); apporte poison, écoulement de sang, libère du dernier supplice (( tueur à gages )) qui exécute les missions.

Statut civil : autrefois émerveillé par sa beauté, cette aura, le lendemain repoussé par la noirceur qui le retenait prisonnier. relation malsaine, entre amour et haine, entre passion et poison qui coulait dans ses veines, (( célibataire )) après que séparation ait été annoncée. tout doucement retrouver une complicité, une proximité avec celle qu'il n'aurait soupçonné.

Quartier : #76 au vieux carré, appartement aux airs d'un atelier où il peut stocker tout son attirail entre outils et matériaux multiples ou encore là où il peut camoufler les billets sales récoltés. pas le plus cosy, pas le plus luxueux, mais un petit cocon certain pour celui qui s'y sent bien.
Longueur RP : je m'adapte.

— we all got a story to tell.
les yeux soudainement si lourds se ferment lentement, le corps trouve aisément sa place sur ce matelas qui en a pris la forme depuis le temps qu'il accueille cette même silhouette qui se laisse tomber. tout ce qu'il faut, c'est espérer qu'au levé du jour il ouvrira de nouveau les yeux, que son corps ne l'aura pas lâché entre deux. tout ce qu'il faut, c'est lui faire confiance, s'il était au bord du précipice, à deux doigts de céder, il l'aurait fait ressentir pas vrai ? le sommeil l'embrasse, morphée l'étreint et les souvenirs se font fugaces. ça défile si vite. trente ans, c'est beaucoup et peu à la fois. y a les moments marquants, ceux plus prenants, des idées, des envies, des rêves qui ne pourront jamais être ne serait-ce que frôlés du bout du doigts et la réalité qui le pourchasse.

(( ENFANT MAUDIT ))

souviens-toi de comment tu es devenu l'homme que tu es. viens, sombre, laisse-toi aller, tout ça tu l'as déjà vécu, tu connais. viens, sombre, rejouons le fil de ta vie, replonge-toi dans ces souvenirs passés.


papa ne sera jamais là à la sortie de l'école,
pour l'aider à faire ses devoirs
papa ne sera jamais là pour les anniversaires,
quand il dira au revoir on ne saura jamais quand il va se repointer
papa ne sera jamais là pour l'aider à affronter la méchanceté,
lui montrer comment faire pour esquiver
papa reviendra quelques fois,
des histoires à raconter, son égo à flatter
papa se pointera quand il dira avoir pu s'arranger, se libérer
papa se fera envoyer chier quand son fils grandira
et qu'il ne pourra plus supporter
papa n'aura fait qu'alimenter la douleur de l'absence,
le doute, le manque, les poings serrés


---

une bulle pour oublier
qu'à l'école on ne cesse de se moquer, de le bousculer
une bulle pour oublier qu'à la récré
il préfère se cacher dans les toilettes que devoir les affronter
une bulle pour oublier les mots : malade, pauvre, imbécile, menteur, gringalet
une bulle pour effacer ces propos qui ne l'ont jamais quitté
une bulle pour estomper la crainte qui naît déjà très tôt pour les autres,
eux aussi, paumés
une bulle pour ne plus penser à tous ces types qui viennent,
repartent, s'entrecroisent, ne font que passer
une bulle pour oublier la toux, les médicaments
qui ne font plus effet car ils sont périmés
une bulle où il laisse libre court à ses pensées,
gamin si doué de ses mains quand il transforme, répare,
à défaut de pouvoir réparer sa vie, il améliore ce qui peut être sauvé.


ça pouvait pas être si mauvais pas vrai ? dans le fond, bowie, il s'est peut-être forgé tardivement, trop tard pour oser l'ouvrir quand ses camarades le harcelaient, ce n'est pas son père qui lui a apprit, ce n'est pas lui qui lui a montré comment se défendre, rétorquer ou même cogner mais il s'est endurci, a grandi, grâce à papa et son absence, grâce à papa et ses mensonges. dans le fond, ces galères ça l'a un peu aidé à devenir celui qu'il est, débrouillard discret mais pas moins créatif et dynamique, toujours une idée derrière la tête pour faire naître un sourire sur un visage, faire plaisir, aider et surtout apprendre tout un métier, se lancer dans la vie active sans que quiconque ne puisse l'arrêter.

puis il n'était pas seul pour affronter cette chienne de vie, ils étaient plusieurs à avoir la même mère, puis y avait sa moitié, sœur née à peine un an après lui, sur elle il pouvait compter. elle aussi, à dû faire face à des soucis similaires. mais même sa moitié est partie, parce que les rêves et l'ambitions ont été son échappatoire. il aurait pu suivre, elle lui a proposé. mais y avait les autres osborne qu'il ne pouvait abandonner. puis ici ou ailleurs, qu'est ce que ça changerait ? il est resté pour eux, espérant qu'elle renoncerait et resterait aussi. elle s'est envolé et ça l'a coûté, elle embarquait un bout de lui avec elle, loin d'ici, de leur vie merdique et mouvementée, si au moins elle pouvait s'en sortir quand lui en venait à renoncer...


-----

encore endormi, le corps apaisé qui a pris le relai, le torse qui se soulève lentement en rythme avec sa respiration. ça pourrait le réveiller de se replonger dans tout ça, l'esprit si bien aiguisé, qu'il sait relier tous les sens pour rendre ces pans de sa vie encore si réels. c'est comme si c'était hier. peut-être que ça l'était. qu'importe. c'est sa vie, sa réalité, il n'a pas tout choisi, n'a pas tout décidé mais il est en voie d'accepter. la maladie, la mort qui guette, l'amour empoisonné. fatalité qui le pousse bien trop souvent à penser « y a pire dans la vie ». fatalité qui l'effraie uniquement pour ceux qui doivent encore y échapper et pour les aider à y échapper, une seule solution trouvée.

(( DÉSAMORCER LA BOMBE ))

souviens-toi de comment tu es tombé de trois étages, comment ta vie a basculé. viens, sombre, laisse-toi aller, tout ça tu l'as déjà vécu, tu connais. viens, sombre, rejouons le fil de ta vie, replonge-toi dans ces souvenirs encore trop frais que tu traînes comme des boulets à tes pieds.


bien camouflée, parce que tousser à s'en arracher les poumons
ça n'inquiète pas toujours quand on fume à longueur de journée
maladie à quatre lettres, bpco plus simple à prononcer que
bronchopneumopathie chronique obstructive,
rien que de le lire ça fait bader.
tue à petit feu, symptômes s'accentuent en fonction des saisons,
choper tout ce qui passe, se retrouver alité,
le quotidien d'un habitué
troisième cause de mortalité sur le continent,
quitte à se coltiner une merde, autant que ce soit une merde d'acier
finalité ? merci la pauvreté et le manque de moyens
pour soigner les bronchites du gamin
merci la pauvreté qui l'empêchera d'avoir accès aux traitements
aussi tôt qu'on l'aura décelé, déjà faire les tests pour la découvrir
c'était comme écouler cinq années d'économies durement gagnées.
merci la nicotine et son addiction,
pour accentuer les effets rien de mieux qu'un autre poison


---

nouvelle vision, parce que de toute évidence
il est foutu avec le prix des soins
quitte à sauver quelqu'un
autant que ce soit les moins foutu du coin
besoin d'argent, paumé,
parfaite recrue pour celui qui peut lui offrir les billets tant recherchés
âme malléable, détermination à ne pas négliger,
un bon petit soldat à former
surtout que bowie c'est pas celui qui passe sa vie à questionner
à part le monde, le karma,
ou ce qu'il a bien pu faire pour mériter cette putain de santé effritée; il est discret.
de ses mains il est doué et il le sait,
pourquoi ne pas franchir un cap
si c'est pour obtenir ce qu'il n'a jamais eu avant ça
confiance gagnée
une vengeance pour ces riches égoïstes,
une vengeance pour ces gosses mal éduqués
qui ne savent jongler avec la différence
et ne savent que s'entretuer
de l'argent pour les siens, leur avenir,
parfait cadeau d'adieu qu'il pourra leur léguer
de l'argent pour ses soins ou le peu qu'il tient à s'offrir
ne faisant pas de lui la priorité.


ça pouvait pas être si mauvais pas vrai ? dans le fond bowie, il a toujours su que c'était pas normal de tousser à ce point, de choper la moindre maladie qui rôde dans les parages, de se retrouver à pomper à longueur de journée une ventoline qui fait à peine effet. cette maladie, c'est juste la suite logique, la conclusion qui évite de trop espérer ou se poser de questions. après l'acceptation, on se sent plus léger. puis ça l'empêche pas d'être efficace dans ce qu'il fait, ses mains n'ont jamais cessé de travailler, différemment, avec de nouveaux outils, il n'y a pas la même atmosphère qui plane dans les airs mais jusqu'à ce qu'il ne puisse plus le faire, il s'y donne à fond, que le souffle soit plus lourd à chaque fois qu'il termine le travail ou que la toux se pointe chaque fois qu'il se libère. ça le rend pas forcément fier quand il se libère. c'est injuste d'abattre quelqu'un en imaginant un autre visage à la place de celui qui fait face à la mort. mais la vie est comme ça, injuste. puis ça remplit les poches et il peut au moins espérer retarder son heure. mieux, il peut surtout leur souhaiter un meilleur avenir que celui qui lui est destiné.

-----

et petit à petit il sent qu'il quitte ce nid douillé, le corps se réveille peu à peu. les yeux s'ouvrent lentement, se referment, besoin de plus de temps, épuisé il était après ce voyage, après avoir vu d'autres paysages dans le seul but de faire disparaître un nom, un corps, une identité. une journée commence. son corps a tenu, faudrait qu'il le fasse encore quelques années, suffisamment pour amasser assez de blé pour qu'ils n'en manquent plus jamais. trente années à se réveiller, peut-être un peu plus de la moitié à le faire encore pour créer d'autres moments marquants, prenants, laisser fleurir quelques idées, quelques envies, de rêves qu'il a délaissé mais réaliser ceux de toutes ces personnes qui n'ont jamais cessé de le faire. vivre chaque petit instant comme si c'était le dernier mais se priver quand c'est nécessaire, demandez à stella elle vous dira comme il a été doué pour la repousser. pour que le chagrin ne s'éternise pas, que l'adieu rime avec joie quand de toute évidence, son combat sera fini et qu'il sera sûrement en train de fumer une clope ailleurs qu'au paradis.

(( ÂME EN PSEUDO-PAIX, EMPORTERA AU MOINS ÇA AVEC LUI ))
Layla Youens
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Age : {twenty four} quatre ans bonus à chérir, comptes bien compter sur une quatrième.
Occupation : {barista au café beignet} à temps partiel, trois jours par semaine, le cul sur le tabouret à gribouiller sur les gobelets. Pick up lines et infos random pour ton plus grand plaisir, peut-être moins celui des clients.
Statut civil : {célibataire} t'as le coeur qui refuse de s'accrocher, t'as peur d'exploser celui de quelqu'un en infligeant un deuil prématuré
Quartier : #22 vieux carré.
Longueur RP : 400/700 mots

cryyy cryyy cryyy
Skye Crenshaw
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Age : vingt-trois ans, rose aux épines qui peine à fleurir, toujours plutôt noircie. gamine aux longs faux-cils, pas une seule ride, gueule à croquer - on pourrait pas deviner qu'elle en a pourtant déjà bien bavé.

Occupation : dans le top 0.1% sur onlyfans, sensation sur les réseaux, qui lui rapportent plus de 200K chaque mois. prête à jouer de ses charmes autant qu'il faut pour atteindre la gloire et le pouvoir, deux armes redoutables pour devenir intouchable. co-gérante avec athena du label porno éthique cheex.

Statut civil : fiancée à rainer, faut dire que tu ne t'y attendait pas. le premier qui te traite à ta juste valeur. les sentiments indéniables ; tu l'aimes. à t'en rendre dingue.

Quartier : faubourg marigny, dans un joli appartement bien décoré avec rainer.
Zone libre :
rps en cours : 4/5. (dispo)
kayla + wren + harrivillain.
liorlabyrinth.
rainermost wanted.
athena + jethroà venir.

Longueur RP : entre 300 et 600 mots environ, ça dépend.
Trigger warnings : cruauté animale, sinon c'est good.

(oui je passe après la guerre, et alors ?)

soyez copains avec @rainer wolff, les meurtres ça crée du lien askip
imaginez les repas chez skye, elle comme ça face aux deux :
weird euh slurp
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Age : (( trente sept ans )) et déjà bien des histoires de vécues qu'il tente de remplacer par de nouvelles images plus fortes, plus positives, plus prenantes, meilleures.

Occupation : (( président des ghostriders mc )), le chef de troupe qui n'hésitera pas à taper du poing si l'on prend aux siens ou si l'on s'approche de trop près de ce quartier qui leur est cher.

Statut civil : il a été ce loup endeuillé, ayant connu l'amour, celui qui lui a été injustement arraché et qui n'a jamais été expliqué. aujourd'hui un peu(( perdu )), incapable d'oublier ce qu'il a vécu autrefois. lassé d'avoir trop donné pour au final finir abandonné, quelque part apeuré de s'ouvrir et se livrer ; se raccrochant surtout à ce petit être qui fait de lui un (( père comblé. ))

Quartier : appartement à lakeview.
Longueur RP : je m'adapte.

@Skye Crenshaw normalement ils se connaissent avec le monsieur wolff
moi je dis faut qu'ils se retrouvent rien que pour faire vivre ce moment a skye mdr
«- et vous vous connaissez comment sinon ?
- comment dire....»
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